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15.

Се 25 тау 1803.

ll пе sera pas dit, monsieur le comte, qu'il parte ип

courrier pour Londres qui пе vous porte pas l'expres-

sion de топ souvenir. J'ai vous remercier encore

de votre dernibre lettre, qui т'а fait le тёте plaisir

que les pr6c6dentes; ј'у vois avec grande satisfaction

les sentimens que vous т'у t6moignez et que de тёте

vous 6tes persuad6 de сеих que је vous porte, ainsi

qu'& votre famille et monsieur votre frbre. J'espbre

qu'un de ces jours monsieur l6 chancelier deviendra

топ voisin: il passera Czarsk06 s610. et т'а promis

de venir souvent manger та soupe. Моп fls nous а

quitt6s depuis avant-hier qu'il est parti pour la Fin-

lande; mais son absence пе sera pas longue, et j'es•

pbre que nous le reverrons de mercredi еп huit; еп

attendant j'ai le plaisir de voir l'Imp6ratrice chez-moi.

Notre train de vie est celui de l'ann6e pass6e, etj'aime

croire, monsieur le comte, que vous vous еп гар-

pelez; је те flatte surtout que топ aimable petite de-

moiselle d'honneur пе l'aura pas oubli6. Elle trouve ici

mes complimens et mes amiti6s. Dites-lui, је vous pria

que m-r son frbre est venu diner chez moi et у daIF

ser. Le chancelier se portS аи mieux, et еп v6rit6,

monsieur le comte, vous le trouverez bien parfaitemd

r6tabli, et тёте bien mieux pour sa sant6 qu'il пе

l'6tait l'ann6e pass6e.