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son voyage, et que vous п'у eussiez pas consenti

si vous vous 6tiez trouv6 P6tersbourg. Mes flles те

chargent de les rappeler vo&e souvenir, monsieur

le comte, et celui de votre aimable flle ев de m-lle

Jardine. Ма flle Marie est promise аи pr.

de Saxe-Weimar, depuis le 1-er de l'an. J'espbre qu'elle

sera heureuse, le pr. ayant ип excellent caractbre то-

ral; mais j'avoue que c'est еп tremblant• que је pense.

аи moment qu'il faudra s'en s6parer. Adieu, monsieur

le comte, agr6ez encore mes remercfmens des voux

роит lanonvelle аппбе, que vous avez bien voulu m'adres-

ser et que је n'ai regus pr6sent, toutes les postes

de Londres ayant retard6. Vous devez connaftre et

atre persuad6 de mes sentimens, et combien sincbre-

ment је suis et serai constamment

votre bien afectionn6e

Marie.