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П.
Monsieur le g6n6ral comte de WoFonzow. J!ai rega.
еп ehemin de Moscou ici, la lettre que vous m'avez
direetement adress6e le 27 s-bre. Rien n'aurait рн те
convaincre davantage dans l'opinion que j'ai сопеие
depuis longtems de vos principes et de vos se.ntimens,
que cette lettre pleine de Те pour le bien du ser-
vice de l'6tat et роит та personne. Је пе puis assez
vons tdmoigner combien је suis sensible la franchise
avec laquelle vous те parlez. D6sirant de m•acquitter
de топ mieux des devoirs qui те sont impos6s, j'exi-
де de chacun le langage de la v6rit6. Vous jugerez
d'aprbs cela si j'6couterai avec plaisir tout се qui те
viendra de la part d'un homme de votre m6rite, de
votre дде, de votre exp6rience.
Је dois maintenant vous r6pondre avee
d6bils, et је пе met,trai аисипе. r6serve пю сопЕапа
се роит vous.
Је reconnais avec vous l'atilit6 de la discussion dans
les afaires, •et si је те suis born6 pr6sent аи
travail du cabinet et avec chacun de mes ministres
etI particulier, c'est, је l'avoue, еп partie parce que
j'ai trouv6 cet ordre de choses 6tabli et que. је n'ai
pas voulu у toucher avant qu'une certaine exp6rience,