— 458 —

.cette occasion; c'est peurquoi је vous charge de vous

entendre avec lord Hawkesbury sur l'6tendue des от-

dres qu'il faudrait donner аи marquis Cornwallis pour

qu'il dirige tous eforts vers le. тёте but. П e.sth

d6sirer que si par la difzcult6 de s'approcher de la

Franee dans l'6tat actuel des choses, il est impossible

de rendre le Pi6mont son souverain l6gitime, il ге-

goive аи moins ип dbdommagempr± convenable еп

Italie, qui .lui resterait jusqu'h се qu'on pat penser

d'autres .mesures. Еп tout. cas, оп пе saurait certaine-

ment. те reprocher que је n'eusse employ6 tous

mes eforts роит le bien du roi de Sardaigne; et роит

у mettre епсоге ипе suite. plus eflcace, vous pouvez

entrer dans . ипе correspondance directe avec le сотИ

Marcow, еп lui communiquant tout се que vos soins

feront entreprendre аи ministbre anglaiq. Аи reste, је

dois vous pr6venir cette occasion, que le comte Va-

lese а fait auprbs de топ ministbre des tentatives por-

tant ип secours p6cuniaire pour le roi de Sardai-

gne,. et qu'il s'y est арриуб principalement sur le dou-

te que l'Angleterre пе retire les subsides qu'elle adon•

n6s. Les circonstances int6rieures de l'empire, еп те

prescrivant pour rbgle invariable d'observer l'6conomiq

пе те permettent pas de satisfaire cette .demande;

mais si le comte Front requ6rait quelquefois votre соп-

cours p.our obtenir .de nouveaux subsides de la ран

de la cour de Londres, vous pouvez l'employer, mais

plus сотте de votre propre mouvement qu'en сопь

quence de quelques ordres de та part.

Је laisse votre jugement eomiuniquer ав

nistAre апд1Ж les actes ci-joints qui опь 6t6 сопи

Paris,—soit еп entier, soit еп partie, ев, lear

VQir p_ar lb та franchise et еп prenant d'eux