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.cette occasion; c'est peurquoi је vous charge de vous
entendre avec lord Hawkesbury sur l'6tendue des от-
dres qu'il faudrait donner аи marquis Cornwallis pour
qu'il dirige tous eforts vers le. тёте but. П e.sth
d6sirer que si par la difzcult6 de s'approcher de la
Franee dans l'6tat actuel des choses, il est impossible
de rendre le Pi6mont son souverain l6gitime, il ге-
goive аи moins ип dbdommagempr± convenable еп
Italie, qui .lui resterait jusqu'h се qu'on pat penser
d'autres .mesures. Еп tout. cas, оп пе saurait certaine-
ment. те reprocher que је n'eusse employ6 tous
mes eforts роит le bien du roi de Sardaigne; et роит
у mettre епсоге ипе suite. plus eflcace, vous pouvez
entrer dans . ипе correspondance directe avec le сотИ
Marcow, еп lui communiquant tout се que vos soins
feront entreprendre аи ministbre anglaiq. Аи reste, је
dois vous pr6venir cette occasion, que le comte Va-
lese а fait auprbs de топ ministbre des tentatives por-
tant ип secours p6cuniaire pour le roi de Sardai-
gne,. et qu'il s'y est арриуб principalement sur le dou-
te que l'Angleterre пе retire les subsides qu'elle adon•
n6s. Les circonstances int6rieures de l'empire, еп те
prescrivant pour rbgle invariable d'observer l'6conomiq
пе те permettent pas de satisfaire cette .demande;
mais si le comte Front requ6rait quelquefois votre соп-
cours p.our obtenir .de nouveaux subsides de la ран
de la cour de Londres, vous pouvez l'employer, mais
plus сотте de votre propre mouvement qu'en сопь
quence de quelques ordres de та part.
Је laisse votre jugement eomiuniquer ав
nistAre апд1Ж les actes ci-joints qui опь 6t6 сопи
Paris,—soit еп entier, soit еп partie, ев, lear
VQir p_ar lb та franchise et еп prenant d'eux