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12.

Monsieur le comte de Woronzow. J'ai regu vos Ге-

lations exp6di6es par le courrier Lindenlaub еп тёте

tems que la nouvelle de la part du comte Marcow qu'il

avait signb [е trait6 de paix avec la France et que

les ratifcations оп avaient 6t6 6chang6es. • L'absence

de lord S-t, Helens т'а priv6 pendant longtems de la

nouvelle 0fHcielle des pr6liminaires conclus entre l'An•

gleterre et la France; mais [а нп elle те fut сот-

muniqu6e, et c'est avec satisfaction чие је vis ип si

heureux commencement роит le r6tablissement de la

paix d6fnitive. Si les conditions пе paraissent pas

avantageuses роит l'Angleterre bien des personnes.

il faut•de l'autre c6t6 consid6rer le nombre de difF

cult6s qu'aurait ofertes la continuation de la диете.

qui, quelque heureuse qu'elle eat п'еп aurait ркз

moins entrain6 l'Angleterre dans des d6penses consi-

d6rables et• bien sup6rieures се que la France, pi•

v6e depuis longtems de ses flottes et colonies, aurait

d0 employer pour conserver ипе position dbfensive.

Laissant аи tems d6cider quel point ceth

paix peut 6tre avantageuse, је la regarde dans се

ment сотте ипе circonstance heureuse pour l'An

terre, et c•est pourquoi је vous cbarge, qoent То