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4.
J'ai 6t6 bien sensible, monsieur le comte, аи contenu
de vos deux lettres, que .j'ai reques. l'une рат m-r votre
flls et l'autre рат l'occasion (Тип courrier. Vous пе
sauriez те donner ипе marque plus agrdable des sen-
timens dont vous voulez bien m'assurer toujours, que
de partager сотте vous le. faites la satisfaction que
Dieu т'а accord6e par la naissance de та fllle, et que
j'appre;cie dans toute son 6tendue: les voeux que vous
faites роит sa conservation doivent lui porter bonheur,
et је vous еп remercie beaucoup.
Је n'ai pas besoin de vous diye, monsieur le comte,
чие malgr6 l'bloignement qui vous s&pare de nous,
j'ai senti dans le tems toute la douleur que vous de-
vez avoir (5prouv6e de la perte de т-у votre fr&re; оп
nfassure que du moins elle n'influe pas sur votre sant6;
mais је dbsirerais vous savoir sur l'isole-
теп[ ой vous craignez que се triste 6v6nement n•ait
laiss6 m-r votre fls. L'estime et l'approbation g6n6rale
qu'il doit sa conduite, sont ипе excellente recomman-
dation et ип bon appui; sans doute, vous devez souffTir
des dangers auxquels il est exposb dans се moment;
mais vous trouverez s0rement du soulagement vous
dire qu'il partage aussi la gloire que s'est acquise