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consolations 6tait de m'appuyer sur cette opinion, qui

de votre part пе pouvait qu'inspirer de la сопаапсе.

Је trouve ип plaisir re;el vous le dire aujourd'hui et

vous exprimer Ia reconnaissa.nce que је vons dois

роит le bien que ј'еп ai 6prouv6.

Vous avez de fr6quentes nouvelles du comte Michel.

је пе vous еп parlerai donc que роит vous f61iciter de

toutes les occasions qu'il а eues de ddvelopper le са-

ractbre que nous lui connaissions dbjh. J'ai rendu дтдсе

аи Ciel de се que sa blessure pas 6t6 dangereuse.

et је vous avouerai que је n•ai pas fort peinbe

que sa gu6rison ait еп longueur. Lui-meme et

l'arm6e n'6taient pas de топ avis: оп • l'y d6sirait ап-

tant qu'il s'impatient,ait de пе pouvoir у retouvner: mais

сотте il plus besoin de faire sa rbputation mili-

taire, је те rbjouissais sous tous les rapports de le

savoir еп s0ret6 la сатрадпе.

Monsieur Лонгиновъ те rend exactement tout се

dont vous le chargez роит moi, et је suis toujours

bien sensible votre souvenir, monsieur le comte: је

пе puis nfemp@cher de vous dire cette occasion

combien је suis charm6e de attachde particu-

librement quelqu'un qui vous est aussi devou6 que

m-r Лонгиновъ, n'ayant d'ailleurs qu'a% те fdliciter in-

fniment du се choix.

Faites, .је, vous prie, monsieur le comte. bien mes

complimens madame votre flle et. croyez аих senti-

mens inaltbrables d•estime et de conside;ration de

votre bien afTectionn6e

Elisabeth.