— 616 —
consolations 6tait de m'appuyer sur cette opinion, qui
de votre part пе pouvait qu'inspirer de la сопаапсе.
Је trouve ип plaisir re;el vous le dire aujourd'hui et
vous exprimer Ia reconnaissa.nce que је vons dois
роит le bien que ј'еп ai 6prouv6.
Vous avez de fr6quentes nouvelles du comte Michel.
је пе vous еп parlerai donc que роит vous f61iciter de
toutes les occasions qu'il а eues de ddvelopper le са-
ractbre que nous lui connaissions dbjh. J'ai rendu дтдсе
аи Ciel de се que sa blessure pas 6t6 dangereuse.
et је vous avouerai que је n•ai pas fort peinbe
que sa gu6rison ait еп longueur. Lui-meme et
l'arm6e n'6taient pas de топ avis: оп • l'y d6sirait ап-
tant qu'il s'impatient,ait de пе pouvoir у retouvner: mais
сотте il plus besoin de faire sa rbputation mili-
taire, је те rbjouissais sous tous les rapports de le
savoir еп s0ret6 la сатрадпе.
Monsieur Лонгиновъ те rend exactement tout се
dont vous le chargez роит moi, et је suis toujours
bien sensible votre souvenir, monsieur le comte: је
пе puis nfemp@cher de vous dire cette occasion
combien је suis charm6e de attachde particu-
librement quelqu'un qui vous est aussi devou6 que
m-r Лонгиновъ, n'ayant d'ailleurs qu'a% те fdliciter in-
fniment du се choix.
Faites, .је, vous prie, monsieur le comte. bien mes
complimens madame votre flle et. croyez аих senti-
mens inaltbrables d•estime et de conside;ration de
votre bien afTectionn6e
Elisabeth.