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пе se sont point m6pris sur la v6rit6 de mes intentions,
remplies de la plus cordiale afection .pour la r6publi-
que de Hollande.
Је vous r6itbre, monsieur, mes remercfments, еп
vous assurant, avec autant de plaisir que de sinc6rit6,
que је suis bien v6ritablement, monsieur le comte de
Woronzow,
votre bien afectionn6
Stanislas-Auguste. roy.
А Varsovie, le 10 de novembre 1764.
11ptl.Q0MHie.
Copie.
Hauts et puissans Seigneurs. Le tems critique ой la R€publique
de Pologne. se trouvait pendant cet interr&gne, btant fni par la
Providence divine, qui а reuni les sufrages de nation pour те
placer sur le tr6ne, l'amiti6 qui а toujours subsist6 entre cette
et la v6tre те fait croire que l'attention avec laquelle
је fais part vos Hautes Puissances de cet 61Qnement leur seri
d'autant plus agrbable, que топ blection, Cgalement libre et соа-
forme аих loix prescrites cet 6gard, conserve ипе entibre tru•
quillit6 dans le pays, ой elle pourra, сотте је le d6Rire biu
c>rement, devenir la source d'avantages r6ciproques pour Ies deu
btats. Је saisirai avec plaisir les occasions ой је pourrai t6moiger
vos Hautes Puissances combien је snis, hauts et puissants sa•
gneurs, votre bon ami
Stanislas-Auguste, roy.
А Varsovie, се З d!octobre 1764.