— 270 -
42.
Кь неиу ме.
Monrepos, 24 juillet 1789.
Pour 6tre aimb •dB Qbus etre aussi
constammept et aupsi tendrement ottach6 que је 1е
suis. Plus је vis, plus је те confrme dans се senti-
ment et• plus је regrette de пе bas ' vivte avec €6us.
C'est ипе chose bien bizarre que la destin6e qui dis;
pose de nous: elle nous cloue ой il •lui• pTt et nous
laisse lh• сотте des Prom6th6es sur le rocher sans
s:embarrasser des• aigles. qui viennent •nous ronger 1е
ooeur; Enfn, il faut se soumettre et faire се que •les
Am6ricains disent leurs enfants quand •ils• crient.:
soufre et tais-toi.—J'ai des remercie,ments vous faire,
топ cher comte. •pour' les livres que v0TB ni'avez еп-
voy68. J'6tais ооёирб justement lire •l'ouvrage de
l'abb6 Barth6lemy de l'6dition •de Paris, que m-r votre
frbre m'avait pr6t6e qudnd j'ai '•cellg de Londres
dont vous те faites pr6sent. J'ai trouv6 dans le тёте
paquet toute ипе pacotille de lorgnettes, parmi lesquels
il s'en est trouv6 ипе propre mes ch6tifs уеих. J'ai
fait des galanteries des autres; ainsi је vous suis bien
0blig6 de la galanterie que vous m'avez faite et de
celle que vous m'avez mis port6e. de faire. је n'ai
point еи le plaisir de voir m-r Joly qui т'а apport6
votre seconde lettre et ј'еп ai еи bien du regret; vous
le croirez sans peine, puisque је sais се qu'il vous est