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Кь неиу же.

Matr6nino, се octobre 1794.

Nous avous еи la semaine pass6e la visite de la

princesse Daschkow, qui п'а rien perdu, elle, de son ас-

tivit6, de son 6nergie, de sa vivacit6, qui lui font tou-

jours trouver quelque chose dire et &faire. Pendant

les cinq ои six jours qu'elle а 6t6 avec nous, elle

s'est mise •diriger et corriger des ouvrages qui se

font sur ип terrain qu'on veut •ajouter аи jardin,

de la maison; et il faut convenir qu'elle s'y entend mi-

еих que notre ouprawitel qui оп еп laissait le .soin.

Elle а соттепсб avec quatre ои cinq ouvriers et а

fni рат faire travailler tout [е monde, elle•meme la

main hl'ouvrage et пе soufrant pas que personne еп

ft)t spectateur oisif. Aussi l'a-t-elle singulibrement avan-

сб роит се реи de temps. Elle а fait part de ses id6es

et donn6 ses directions notre ouprawitel, qui пе voy-

ait pas de trop bon oeil ces changements; mais elle

т'а dit qn'elle l'avait amadou6. Је souhaite qu'on sui-

ve son plan; mais је suis bien sar que се пе sera, pas

avec la тёте activit6, се qui est impossible, et l'au-

rait 6t6, је crois, elle-m6me longue: ni elle ni

les ouvriers n'auraient ри у sufEre. Роит la d61asser

de ses travaux du jour, оп lui donnait tous les soirs

spectacle. Elle s'est Fr@t6e avec assez d'indulgence

cet amusement, qui еп а encote besoin,• •pbur la partie