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Кь нему же.

Pawlowsk, се 27 aoat 1791. v, 8.

Voici encore, monsieur le comte, ип соир bien im-

pr6vu et bien sensible роит notre pauvre grande-du-

chesse. Elle vient de perdre son frbre le prince Char-

les, mort d'une fibvre chaude l'arm6e du prince Ро-

tiomkine, le 13-те jour de sa maladie. 0'6tait ип јеи-

пе homme, qui, par ses sentiments, sa facon de penser

et sa conduite, donnait les plus belles esp6rances, et

auquel т-те la grande-duchesse, dans ces dernibrs

temps, s'6tait extremement attach6e рат les occasions

qu'elle а еи de le connaitre et d'apprendr.e се qu'il

valait; il 6t5it aussi extr@mement ch6ri de la тёте; et

c'est maintenant sur elle que se rassemblent les inqui6-

tudes de т-те la grande-duchesse relativement cette

perte et la faeon de la faire parvenir sa соп-

naissance. Elle n'est pas sare, si elle пе se trouve

point еп се moment Londres, et еп се cas s. а. i.

те charge de vous prier, топ cher comte, de faire еп

sorte, рат tous les moyens qui dbpendront de vous,

(iu'elle пе vienne point apprendre cette triste пои-

velle avant qu'on ait pris toutes les pr6cautions qu'on

jugera convenables роит lui 6pargner аи moins les dan-

gers de la surprise et d'une grande 6motion. Re-

commendez donc chez vous le secret lbdessus роит

que le bruit пе puisse point еп venir de votre maison,

се qui пе pourrait que l'accr6diter. Si т-те la grande.

duchesse 6tait s0re que т-те sa тёте actuellement

Londres et qu'elle у restdt jusqu' аи tems de la r6-