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Кь неиу же.
Се З mars 1790.
Је пе voulais pas vous parler de се qui m'afectait,.
et роит cela il п'у avoit d'autre тоуеп que de те
taire. Vous еп avez cependant appris quelque chose,
је пе sais рат ой ni comment, et vous еп avez tbmoign6
quelqne inqui6tude m-r votre frbre, qui vous а ras-
sur6 еп vous apprenant que tout 6tait fini *). 0ui, топ
cher comte, le temps а produit son efet; mais се те-
mbde еп gu6rissant ип mal еп fait souvent d'autres.
La playe est ferm6e, mais la cicatrice est toujours
douloureuse. D'ailleurs, dans l'ordre des choses ой је
те trouve plac6 et dont је vous avoue que је suis ех-
tremement las, le temps п'а rien de bon apporter, et
l'avenir, dont il est gros, est bien loin de те promet-
tre des d6dommagemens роит le pass6. Enfn, laissons
cela.; сат il п'у а rien de bon et de consolant еп
dire, et tout,es ces matibres пе valent rien atre trai-
t6es рат 6crit. Monsieur votre frbre pourra vous dire
quelle r6pugnance j•ai тёте d'en parler. Је voudrais
pouvoir tout oublier et пе rien pr6voir. Је те suis сто,
pendant ип moment, bien pr6t те tirer de la bagarre,
et c'est avec bien du chagrin que је т'у suis vu ren-
дадб. Dieu sait maintenant combien cela durera. 0'est
auprbs de vous et avec vous, топ cher comte, que
j'aime те fgurer le repos et la paix du reste de та
Рвчь вдеть, ввроятво, о томъ, что Ја•ермьеръ очутился вт. опав у
ведиввго князя Павда Петровича. П. Б.
Архивъ Княвя Воронновь XXIX.
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