329

poursuivre . quelqnes recherches scientifqnes •ses

propres fraix, се n'est que dans le cas, .ой m-rs les

membres de la commission sanitaire d'Odessa pour•

raient se rencontrer dans les тётев )ieux ачес m-r

Pezzoni et juger propos d'utilisec ses conseil.s ои

ses connaissances de la langue et des habitudes du

pays, qu'il serait тёте de faire preuve du zble qui

l'a anim6 toute sa vie pour les recherches relatives

la peste, et l'id6e de pouvoir jamais m6rit6 par

l'attention et le sufrage de votre excellence serait,

j'ose еп r6pondre, le mobile le plus puissant et le plus

glorienx ses. уеих.

Р. S. Aprbs m'@tre acquitt6, monsieur le comte, par

la lettre semi-offcielle, qui prbcbde, du devoir de r6-

pondre еп d6tail celle que vous avez еи la bont6 de

m'adresser sur l'afaire de la cotnmission sanitaire

d'Odessa, qu'il те soit permis d'ajouter ici l'expres-

sion de la vive et profonde reconnaissance que т'а

fait 6prouver l'accueil Ratteur et les attentions de toOt

genre, dont оп т'а comb16 топ passage par 0des-

sa. А се sentimen' s'est joint celui de radmiration et

de l'orgueil patriotique que m'ont inspir6 les progrbs

prodigieox d'Odessa еп tous genres, ddns le court

espace des cinq ann6es qui s'6taient pass6es depuis

que j'avais vu cette brillante capitale de la Russie

m6ridionale, dont l'origine пе remonte pas ип demi•

sibcle et qui depuis ипе 20-пе d'ann6es surtout rivalise

avec les plus belles villes de l'ancienne Europe. C'est

votre innuence tut6laire, monsieur le comte, mais

invisible сотте celle d'un g6nie bienfaisant, que j'ai

dt tous les sujet de gratitude et de satisfaction que

т'а caus6 топ court s6jour 0dessa; mais cette fois