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poursuivre . quelqnes recherches scientifqnes •ses
propres fraix, се n'est que dans le cas, .ой m-rs les
membres de la commission sanitaire d'Odessa pour•
raient se rencontrer dans les тётев )ieux ачес m-r
Pezzoni et juger propos d'utilisec ses conseil.s ои
ses connaissances de la langue et des habitudes du
pays, qu'il serait тёте de faire preuve du zble qui
l'a anim6 toute sa vie pour les recherches relatives
la peste, et l'id6e de pouvoir jamais m6rit6 par
l'attention et le sufrage de votre excellence serait,
j'ose еп r6pondre, le mobile le plus puissant et le plus
glorienx ses. уеих.
Р. S. Aprbs m'@tre acquitt6, monsieur le comte, par
la lettre semi-offcielle, qui prbcbde, du devoir de r6-
pondre еп d6tail celle que vous avez еи la bont6 de
m'adresser sur l'afaire de la cotnmission sanitaire
d'Odessa, qu'il те soit permis d'ajouter ici l'expres-
sion de la vive et profonde reconnaissance que т'а
fait 6prouver l'accueil Ratteur et les attentions de toOt
genre, dont оп т'а comb16 топ passage par 0des-
sa. А се sentimen' s'est joint celui de radmiration et
de l'orgueil patriotique que m'ont inspir6 les progrbs
prodigieox d'Odessa еп tous genres, ddns le court
espace des cinq ann6es qui s'6taient pass6es depuis
que j'avais vu cette brillante capitale de la Russie
m6ridionale, dont l'origine пе remonte pas ип demi•
sibcle et qui depuis ипе 20-пе d'ann6es surtout rivalise
avec les plus belles villes de l'ancienne Europe. C'est
votre innuence tut6laire, monsieur le comte, mais
invisible сотте celle d'un g6nie bienfaisant, que j'ai
dt tous les sujet de gratitude et de satisfaction que
т'а caus6 топ court s6jour 0dessa; mais cette fois