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т—юя низдднньш.

Les valets, les auroient 1ешв vols, et puis ура,

татап, gouverneurs, les gouvernanb viendmient la

se et tout le monde diroit: сютте va le monde. Le tout

fniroit ри ип petit feu d'artifce dans le bas de la та“, qui

repr6senteroit la fn da monde, ои quelque autre babiole.

Се novembre 1776.

Monsieur Lustucru, 6cuyer, donne ипе f6te dans sa maison,

parcequ'il est attaqu6 de maladie 6pid6mique qui !Чпе, la

rage des f'tes. Сотте sa est petite et qu'il п'а que deux

belles chambres, роит la des il а fait arran-

ger partie de ses отсев; ва cuisine, sa cave sont

conversation, et воп 6curie pur le јеи; ilaurasoin defaireretirer

les chevaux de celle-ci par complaisance pnr dmes•, il fait

plus, il fera tendre par dessus les cr&s des rideaux de damu-

јаипе, qui la verit6 пе sont ри neufs, mais aussi ри tout fait

us6s. belles chambres sont meub16es. La premi&e des

6preuves de tapisseries, ои 8i l'on vent еп arc еп ciel, avw de

beaux miroirs de dif6rentes gandeurs.—La uonde еп lettes

de l'alphabet, choisies avec fn—e, g(At et diwernement. Sa

maiwn еп g6n6ral brille еп vari&•, il п'у еп а gu&es

qui ressemblent; le wuper ве donnera аи grenier, pur t6moi-

ger que par il se d68i8te d'avance de la daerte.

Madame Lustucru et la famille de monieur Lustucru, de тёте

que ses parens et ses amis, femnt de leurs mieux ynr amuser

l'honorable compagnie dans tous les coins de la maison par beau-

соир de tours de plitesse, de souplse, de complaiBnce, d'ima-

gination et de gentillae. Monsienr Lustucru est persnad6 que la

r6jouisance et le contentement de ses convives sera аи comble,

et сотте il n'ignore pas, qu'une јоуе сотте celle qu'il pr6pare

peut nuire аих sant6s d61icates, il pousse тёте l'attention

6tablir pur се јоит-П ипе infrmerie dans sa maison,

quoi il desine sa propre chambre coucher et les lib de