ПРИЛОНКЕНIЯ

К Ъ ГЛАВА III.

Мовсюи, le Avril 1828.

Monsieur le Comte.

Vous пе sauriez douter combien је suis heureux de Vous adresser

се 6tre et mes fblicitations. J'6cris Votre Excellence de l'ancienne

Capitale, et је voudrais pouvoir 6tre воп organe auprbs du C.te

Paskewicz.d'Erivan. П saurait, par la voix d'un subordonnb r6con-

naissant, qui est aussi ип ami sinc>reet fdble, que tous les sufra•

дщ de tout се qu'il у а еп Russie de plus distingub, lui sont acquis,

et .que l'envie еИе•тёте ni l'esprit de parti n'osent qu'applaudir

la manibre dont notre bienaimb Souverain sait honorer et r6com•

penser les services du vainqueur, pacifcatear de l'Asie. П пу а

qu'une voix... L'int6r6t que l'on prend аих moindres circonstances

de notre guerre, аих conditions de paix qui viennent

publi6es, est si gbn6ral, si unanime, qu'il у а presque lieu d'en

Etre surpris, car cela de l'enthousiasme, et vous savez,

g6n6ral, s'il est facile chez nous de l'6veiller. Habituee пе s'btonner

de rien, la Russie parait 6tonn6e.

L'accueil bienveillant qui m'6choit ici еп partage, peut vous

donner la mesure du triomphe qui vous attend Moscou lorsque

les circonstances vous permettront ип jour d'y venir. J'ai surtout

btb 1att6 de la avec laquelle j'ai 6t6 requ par Madame la

Comtesse, et par Monsieur votre Ьеаи-рёте. П m'6tait bien agr6able