59
се que лош апв еи le plus de peine leur arracher dans поз
n6“iatimts, • c'est Ее sacrifce d'Akh"ik.
Adieu, топ cher Comte, j'espbre que l'hiver пе se pa&ra рад
sans que поид ayons le plaisir de vous voir ici, ainsi que vous те le
faites pressentir. Dieu veuille que ni les Turcs, ni les Persans пе
s'y opposent et que је sois bient6t тёте de vous r6itbrer de
vive voix les de топ plus sincbre attachement.
Nesselrode.
St.-P6tersbourg,
le 12 Novembre 1829.
Је regrette vivement, топ cher Comte, de пе pas pouvoir 6tre
avec vous sur les que vous avez prises l'bgard
de la Perse. Је crains, је l'avoue, qu'elles пе produisent l'efet
absolument contraire celui que voas aviez еп vue. Notre intbret
btait de gagner du tems, de calier, de rassurer le Gouvernement
Persan, d'avoir l'air par consbquent de le regarder сотте entibre-
ment btranger l'assassinat de Griboybdof et de nous contenter
de la rbparation qu'il поид ofrait dans l'envoi des fls d'Abbas-
Mirza. C'btait la marche que vos d*hes pr6c6dentes signalaient
сотте la plus utile et la plus analogue votre position g6n6rale.
Је пе vois pas trop се qui а ри vous engager, топ cher Comte,
еп d6vier. Vos lettres Abbas.Mirza sont pressantes et тёте
ип реп imNratives. Ne pourraient-elles рад le jeter dans ипе fansse
route et pr6cis6ment provoquer les dbterminations contre nous, que
jnsqu'ici rien n'indiquait d'une manibre ип реи pr6cise et que поив
avons ип si grand intbret d'bviter? C'est lh св que поив craignons
et l'Empereur attend avec ипе vive anxibt6 les rbsultats de la
mission du Prince de koudaschef. Је doute qu'Abbas.Mirza se
d6cide faire la guerre аих Turcs, il п'еп а pas les moyens et
trop de dangers perumnels combattre dans l'int6rieur. D'ailleurs
је r.rde toujours cette cmpbration сотте реи utile la guerre
et trbs embarrassante la paix. Que les Persans tran.
quilles vis-bvis de nous, qu'ils vous laissent, топ cher Comt,e,