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d6sire aussi l'augmenter роит se venger des таих, qu'il а
sou1Tert.
Је suis persuad6 que vous sentez mieux que moi toutes ces
consid6rations; ainsi il est inuLile que је m'btende d'avaatage.
Sans 0tre tax6 d'ambition оп peuL faire du bien sa Га-
mille. C'est ип devoir prescrit par la nature et qui пе peut
qu'@tre approuv6 du monde, lorsqu'il пе sort pas des bor-
prescrites par la jusLice et la modbration. Је пе vous
parle pas du soulagement сеих de la famille qui sont
dans le malheur, puisque l'humanit6 et la religion nous le
prescrit тёте envers chaque individu. J'espbre donc que
vous n'aurez pas manqu6 еп се point envers та sour Eli-
sabelh, quoique је n'ai аисипе preuve du contraire, igno-
rant тёте се qu'elle est devenue.
Ces considbratious те portent exhorter, сотте
ami et qui prend intbr&t votre gloire, аи cas que vous
n'ayez pas soulag6 та sour, de vous int61HH' pour elle,
еп la metLant dans ип 6tat tranquille. C'est quoi, је crois,
doivent se borner ses dbsirs. Vous vous justiferez аих уеих
de tout le monde еп n'6touIant pas les sentimens de la
nature et 0terez ипе grande tache du moins аих
anvieux de vous reprocher, саг, је vous le r6p6te еп homme
franc et еп ami, чие vingt belles 6clatantes пе sont
rien аих уеих du sage quand оп а тапрб des devoirs
naturels.
Је пе serai jamais plus content• que lorsque j'aurai appris
que та sour aura fait се qu'elle doit son sang, •et топ
amiti6 pour vous sera flatt6e de voir que mes conseils 6taient
conformes votre faeon de penser. Је пе vous demande
rien de plus et је пе continuerai pas de faire des voux
pour que vous soyez heureuse et que vous contribuiez
rendre de тёте сеих qui еп sonL dignes.
Је suis avec ипе estime parf8ite etc.
10 Septembre
А undru, le
1762.