171 —

d$ pour ипе soumision, dont је suis bien 6loign6, еп v6-

it6. C'est се qui vous а fait prendre apparement се [оп

imp6ratif dans votre dernibre, que је considbre сотте to-

talement inadmisible de vous moi. La v6rit6 seule т'еп-

даде entrer dans се d6t,ail, еп vue de quoi је r6pondrai

article par article votre dernibre lettre.

Primo. Је n'ai rien avanc6 еп disant, qu'on пе m'avoit

rien 6crit votre sujet relativement та Elisabeth;

је l'ai sa поп par des voyagews, саг је пе vous l'ai ја-

mais 6crit, mais раг des passagers, qui sont уепш de Rus-

ie sur des vaisseaux anglais; је crois, le coniirme encore:

ils m'ont dit quel sujet vous 6teg venue voir та our,

lorsqu' еИе 6toit arr6tbe dans la maison de топ pbre. La

реп plus qu'humaine avec laquelle vous avez tach6 de [а

c.orwler, dont j'ai 6t6 оп пе peut рад plus 6difi6 et qui

servira de monument la posterit6 de votre d6sint6resse-

ment; уош serez cit& роит exemple, et је vous f6licite

d'avance sur le r01e que vous у jouerez; vous auriez ро

cependant malgr6 cette c616brit6 vous servir ип реи de ter-

mes plus polis envers moi que сеих, dont votre lettre esL

remplie.

Depuis та dernibre 6criLe vous, је mentirois, је

&ois que је n'ai 6t6 mieux inform6 que par des рада-

gers de votre conduite envers vos parents. Је la pesse sous

silence et rois ипе fois роит fnir ces sortes d'explim-

Иош ой il est si diTcile, еп voulant dire la v6rit6, de пе

manquer la politesse qu'on se doit r6ciproquement.

Ainsi је те borne vous dire simplement, que si је мои.

lais citer des f8its, il пе d6pendrait que de moi. Les sa.

chant pr6sent, dites que vous avez Ыисоир d'ami•

ti6 роит та sour, que cela est d'autant plus beau, que

vous пе lui devez rien, et que се sentiment-lh est bien

plus honn6te que celui de la reconnaissance. Vous n'agissez

pas imprudement, lorsque vous voulez diminuer le prix de