ЗАИЫСП U ВОЯСПИТИВОПОДЬ.

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п'а ри rien gagner sur еих s6par6ment), qu'elles d6b•ui-

raient cet ennemi t6m6raire. Mais је vois avec autant d'6-

tonnement que de douleur qu'on peut поид insulter impun6-

ment et que les Su6dois, inf6rieurs еп nombre et sur поа

propres смев, restent aassi tranquilles que s'ils 6taient

Carlscron. Le baron de Nolken et tous les Su6dois qui sont

ici 6taient trbs-inquiets leurs nottes, mais артёв deux

semaines de notre inaction, ils se sont tranquilHs6s. Је n'at-

tends plus qu'd reeevoir la nouvelle que le duc de Suderma-

nie, proftant du premier vent du Nord, est parti travers

de nos nottes et est arrlv6 еп bon Etat Hebingfors ои

Carlscron, suivant qu'il l'a voulu, et que les n0tres пе feront

plus rien, сотое l'ann6e pass6e.

•VoilA се que c'est que de пе рав avoir ип Greigh et de

пе рав se presser d'avancer сеих qui peuvent le remplacer.

J'ai trop d'humeur pour continuer cette lettre.

82.

Richmond, 9 (20) Juillet 1790.

Је пе vous dirai rien виг les afaires: vous le verrez dans

тев d6p6ches. Toute n6gociation вега ипе duperie et шив

avilira еп pure perte. П п'у а que la fermet6 et les те-

sures vigoureuses qui peuvent contenir l'ambition prussienne

et nons rendre la dignit6 qu'on а si honteusement perdue.

1.4 comte de Bezborodko m'avait 6crit,• l'hiver dernier, qu'h

la fn d'Avril ои аи plus tard аи commencement de Mai le

prince Potemkine ferait par тег ипе tentative sur Constanti-

nople. Nous воттев аи mois de Juillet, nous avons des пои-

velles de Jassy de la ап de Juin, et notre arm6e п'а рав

boug6 encore. Si оп abandonne les provinces аи delh du

Dnestre et qu'on ве met sur la d6fensive contre les Turs,

qui ве sont pas redouter et que реи de troupes peuvent

contenir, et qu'en тёте temps оп fasse passer toute l'ar*