ПВРВПВСП съ вввворощоо.

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m6morable note danoise. Le ministre de Danemark qui est

ici, qui est Norv6gien et а plus d'Ame quoique pas plus de

talent qu'un Danois, еп а fr6mi de раде, quand је lui ai lu

cette pibce. те fait piti6, се pauvre homme, car il sent le

r61e humiliant que le comte de Bernsdorf fait jouer воп

pays. Il т'а avou6 dernibrement ипе cruelle humiliation qu'il

а essuy6e реи de temps aprbs доп arriv6e Londres. Il sait

l'anglais, mais cela n'6tait рад соппи encore; se trguvant ип

jour dans ипе trbs-nombreuse assemb16e, ип groupe de per2

sonnes de distinction proche de lui parlait sur le Danemark,

ип de сеих qui composaient се groupe dit: „И faut avouer

qu'il fallait etre aussi 16che et poltron que сед pauvres Da-

nois роит avoir ри 6tre intimid6s par ип fol сотте Elliotc.

Је vous envoie ипе lettre que j'ai reque de т. Rostopchine;

vous verrez qu'il а se plaindre du comte Bezborodko.

Quant moi, је suis 0blig6 malgr6 moi й cesser та сот-

respondance avec се comte, qui outre qu'il пе т'а рад Гб-

pondu du tout quatre lettres чие је lui ai 6crites annuelle-

ment par rapport ип pr6sent de 1ivres чие је lui ai еп-

voy6 de la port de mylord Bute, il пе т'а рав r6ponda sur

ппе lettre que је lui ai 6crite sur ип argent que monsieur

Стретховъ т'а remis еп те marquant que le comte Bez-

borodko m'indiquera l'usage. Il те doit cinq r6pnses deg

lettres qne је lui ai •6crites par des courriers, et еп dernier

lieu celle ой је le f6licitais sur воп avancement. Ои il п'а

рав le temps, alors је dois lui 6pargner de la peine; ои il

пе veut pas de та correspondance, et alors је dois la quitter

епбп. Еп tout сад се serait ипе bassesse de та part que de

lui 6crire.

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Londres, le 29 Ман п. 8. 1791.

А pr6sent је dois vous parler de moi-meme, топ ami.

Qnoiqu'il paraft improbable qu'il у ait ипе rupture ouverte