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faire ипе d6peche, except6 la c6l6bration de la f@te du 0i,
qni а 6t6 c616br6e Samedi dernier сотте de coutame.
Је suis bien nch6 de l'accident arriv6 аи comte de Tcher-
nicbof, et s'il пе revient рад de ва maladie, il sera impos-
sible de trouver ип homme aussi •ctif que lui. Si cette ас-
pouvait etre quelque fois nuisible dans les temps calmes,
elle 6tait pourtant trbs-n6cessaire dans ип temps de ggerre.
Pour се qui est de moi personnellement, је dois le regret-
ter, саг ayant еи раг пов places respectives des re18tions
oficielles entretenir entre nous, је n'ai еи qu'A те louer
de lui.
97.
Londres, le 10 Juin п. в. 1791.
Је suis 6tonn6 que vous 6tes ;ttendre encore le second
courrier de monsieur Boulgakof, et que par le premier il п'а
donn6 аисип d6tail de la cause de la r6volution polonaise.
Certainement је пе suis раз qualif6 par топ реи de connais-
вапсе de juger pertinemment sur cet 6v6nement; mais il те
semble pourtant чие l'avidit6 d'une certaine puissance d6-
membrer севе pauvre r6publique l'a forc6e devenir plus
monarchique qu'elle n'6tait. Quant nous, је crois que поив
serons сеих des trois voisins qui се changement fera le
moins de mal. Је crois тёте чие cela поив 6pargnera bien
des guerres, des d6penses et des d6sagr6mens, si оп prend le
parti, сотте j'espbre, de cultiver l'amiti6 de сеих dont l'int6ret
sera toujours de bien vivre ауес nous.
98.
Londres, le 2 (13) Juillet 1791.
J'ai течи par Nazarewskoy les 20 roubles que vous
m'avez envoy6s par ordre de l'Imp6ratrice, et qui ont prodait