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Lundi, се 4 d'Avril (до 1795).
Mille et mille remerctments, топ cher ami, pour votre
preIINre de Matrenino qui т'а donn6 beaucoup de plaisir,
car vous vous dites si content, si satisfait d'y 0tre, que је
partage vos sentiments се sujet, et cela plus
fortement encore parce que је suis persuad6e aussi bien que
vous l'@tes, que votre та1йё1•е de vivre pr6sent vous теп-
dra la sant6 que l'inqui6tude et les affair6s vous avaient
enlev6e. Pour moi је suis (sans etre sainte) Catherine-martyre.
J'ai еи par-dessus •le march6 le plaisir de voir couler
fond l'esp6rance que j'avais de faire ип accommodement avec
les parents de топ gendre; mais сотте cela п'а pas еи lieu,
le tuteur а pr6sent6 аи S6nat ипе repr6sentation роит avoir
la permission de vendre les pour payer les dettes, et
dans cette d6marche deux circonstances те font avoir quel-
ques souppns:
1) Что онъ поимянной СПИСОЕЪ представилъ въ продам
U'hHiR Андрея Евдокимовича, не упомяпувъ однако Чер-
нявки. Когда я спросила, для чего онъ Чернявки не ВЕЛЮ-
чилъ, то въ отйтъ сказалъ, что „я Чернявву уже не
считаю принадлежащею ему и не вступаюсь въ оную, по-
тому что 20 тысячь неустойки положено“
2) Что онъ додту показалъ въ своемъ 160
тыс.; а онаго, за показанныхъ матерью 27
тыс. долгу на заводђ, вои должны уже быть заплачены
101 тыс., а съ онымъ 128 тысячъ.—Је пе comprends pas
pourquoi il а exag6r6 les dettes et dit qu'il п'а еи de reve-
nus que trois mille environ. Mais finalement је l'ai fait
aboucher avec et lui а prouv6 qu'il devait
faire ипе seconde repr6sentation аи S6nat pour demander
s'il devait donner ипе купчую на у#пленную записью де-
ревню дочери моей, чтд онъ и общался прислать изъ де-
ревни. Quant та fille, је n'ai d'autre nouvelle sinon que
ses lettres de Vienne; les courriers qui еп viennent et le
porteur de la lettre de НааК m'ont dit la тёте chose,
qu'elle se porte fort bien. Vous trouverez. ci-incluse la let-