la bouche d'un Frangais qui .s'est fait Subdois, qui est
trop habile et (llli рас ces deux qualitbs, de la nais-
.sance et de la naturalisation, пе peut pas (1tre ип bon
Russe.
,J'ai cent mille raisons щие је пе puis vous dbtailler
ici) роит prier Dieu afin que quelque changement sur-
vienne dans la rbpartition de nos troupes, par lequel
vous пе seriez plus sous les ordres de Bernadotte.
Је suis persuadb que si le prince-marbchal пе ftit
pas reste3 malade. еп arribre de l'arm6e, il n'aurait
jamais permis que nos troupes et les prussiennes quit-
tent la rive droite de l'Elbe avant l'arriv6e de nos
renforts et l'approche des Su&lois de Натбоитд. La
mort du prince-:nardchal, que nous venons d'apprendre,
est роит moi pire que З batailles perdues. Cette perte
est si irrbparable que је пе pr6vois que des malheurs.
150.
l,ondres, lc 1 Juin п. s. 1813.
Nous avons еи le malheur de perdre deux amis, as-
sassin6s de [а la plus horrible, et quand vous
apprendrez leurs noms, vous пе c.roirez pas 1а chose
possible. C'6taient des personnes dont toute la vie
6t6 qu-une occupation non-interronn»ue. de charit6 et
de bienfaisance; enfn, c'est le vieux 1)l-r Bonard et sa
fbmme: ils ont 6t(3 assassin6s entre deux et six heures
du matin hier, le 31 Mai. Ils 6taient venus leur сат•
радпе Campden - Place роит passer deux ои trois
jours, ayant laisst; ипе partie de leurs gens еп ville.
Le fils а*пб, qui est ()fic.ier dans la milice locale, 6tait
son devoir Faversham; sa fFmme et sa .soeur (3tai-
ent Cadogan-Place dans la maison du fils, et le fls