312
158.
Получено 26 Декабря,
l,ondres, 1 (13) .X.bre 1813.
Le colonel Benkendorf, frbre cadet de т-те Lieven,
qui 6tait venu ici de la Hollande depuis 5 jours роит
voir sa soeur, s'en retourne aujourd'hui son poste.
Il part ensemble avec le g6n6ral Balachof, qui 6tait
venu ici de la part de l'Empereur pour porter аи
prince-rbgent les marques de l'ordre de S-t Andr6 et
qui retourne аи quartier-g6n6ral par le plus court
chemin qu'il puisse prendre.
Се colonel Benkendorf, чие j•ai соппи ici du tems
d'Alopeus, те semble ип јеипе homme aussi agr6able
que sensb, et quoiqu'il пе vous soit pas aussi соппи
que son frbre afn6, је sais qu'il п'а par16 de vous
tous сеих qui l'ont questionn6 sur nos armCes qu'avec
beaucoup d'estime et de respect, parlant de vos talents
militaires et de votre conduite personnelle, qui vous
ont attir6 1'amour et la confance de l'armbe russe.
Сотте il s•est offert moi de vous faire parvenir та
lettre еп mains propres рат des occasions ой q uelqu'un
de nos ofic,iers ira de Hollande l'armbe ой vous 6tes,
је profite de cette ofre роит vous 6crire, топ trbs-cher
Michel. J'ai lu avec plaisir les copies de la lettre que
vous avez reyue de votre ami du quartier-g6n6ral et de
celle que vous lui avez bcrite еп rbponse. J'ai quelques
observations vous faire sur quelq ues passages de
cette (lernibre. Sans entrer dans les causes qui ont
d6jh plusieurs fois fait tort l'ensemble des op6ra-
tions de cette сатрадпе, causes que vous avez prudem-
ment 6vit6 de discuter, је dirai seulement que la pas-
sion d'aller se.s propres vues, пе regarder чие son