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Получено 26 Декабря,

l,ondres, 1 (13) .X.bre 1813.

Le colonel Benkendorf, frbre cadet de т-те Lieven,

qui 6tait venu ici de la Hollande depuis 5 jours роит

voir sa soeur, s'en retourne aujourd'hui son poste.

Il part ensemble avec le g6n6ral Balachof, qui 6tait

venu ici de la part de l'Empereur pour porter аи

prince-rbgent les marques de l'ordre de S-t Andr6 et

qui retourne аи quartier-g6n6ral par le plus court

chemin qu'il puisse prendre.

Се colonel Benkendorf, чие j•ai соппи ici du tems

d'Alopeus, те semble ип јеипе homme aussi agr6able

que sensb, et quoiqu'il пе vous soit pas aussi соппи

que son frbre afn6, је sais qu'il п'а par16 de vous

tous сеих qui l'ont questionn6 sur nos armCes qu'avec

beaucoup d'estime et de respect, parlant de vos talents

militaires et de votre conduite personnelle, qui vous

ont attir6 1'amour et la confance de l'armbe russe.

Сотте il s•est offert moi de vous faire parvenir та

lettre еп mains propres рат des occasions ой q uelqu'un

de nos ofic,iers ira de Hollande l'armbe ой vous 6tes,

је profite de cette ofre роит vous 6crire, топ trbs-cher

Michel. J'ai lu avec plaisir les copies de la lettre que

vous avez reyue de votre ami du quartier-g6n6ral et de

celle que vous lui avez bcrite еп rbponse. J'ai quelques

observations vous faire sur quelq ues passages de

cette (lernibre. Sans entrer dans les causes qui ont

d6jh plusieurs fois fait tort l'ensemble des op6ra-

tions de cette сатрадпе, causes que vous avez prudem-

ment 6vit6 de discuter, је dirai seulement que la pas-

sion d'aller se.s propres vues, пе regarder чие son