presser cet armistice, sans quoi il пе l'aurait pas de-

la соит de Vienne, је crois qu'elle

ma.nd6. Quant

nous јоие: Metternich est ип honune san.s аисип prin-

cipe: l'honneur et la dignit6, l'intbr@t тёте. (le. son

souverain, n'est роит 1ui que des objets trips-sec.ondai-

res; c'est son propre. avantage, nteme аих d6pens (le

toutes choses, qui est le but principal de toutes ses ас-

tions. Avec de tels principes. il est bien tacile аи

Corse de l'avoir de .son Metternich caresse le c-te

Stadion, tnais le hait et craint чие le changement de

systbme пе remette son rival la tt\te des afaires: c'est

pourquoi il le tient (loig•nek de la соит, еп le tenant

notre quartier-g6n6t•al sous pr6texte d'arranger ип соп-

c.ert, qu'il а soin, 6tant lui-m(hne auprbs de Franeois

II-d, d'empecher de s'arranger. Је crois тёте qu'en

cas que l'empereur d'Autriche finisse par s arranger

avec поив contre le Corse, Metternich et plusieurs

autres dans l'arm6e et la соит de Vienne tAcheront

de faire manquer les opbrations. La grande faute de

notre part fut celle de пе s'@tre pas arlQtbs sur

(l'oh il fallait articuler distinctement l'Autriche que

si dans 6 semaines de la date (le la notifcation qu'on

lui fait, elle пе (16clare pas la guerre аи Corse et пе

fait pas entrer 50 mille hommes еп Saxe роит se

joindre nous, et пе fait pas marcher 30 rnille hom-

rnes еп Italie, ой le Corse pas laissb 2 mille hom-

lnes, nous ferons la paix. et l'Autriche пе reo•agnera

plus jamais tout се que Bonaparte lui а ()t6, c•est h

(lire l'6tat, V6nitien, le Milanais, [е 'Mantouan. la Tos-

сапе, de тёте le Tyrol, le Frioul, la Carniole, l'Is-

trie, la Dalmatie, la Croatie. et tout се qu'il lui avait

dt6 еп Pologne. Avec les 50 mille hommes еп Saxe

et les 30 mille еп Italie, elle bgorgeait Bonaparte аи