suis regretter de n'avoir рав su cela ипе heure avant,

parce que j'aurais ри passer chez lui et l'aider faire

ses paquets. Voili deux anciens et bons amis et qui

m'ont donn6 tant de preuves de leur attachement pout

moi, qui sont s6par6s de moi pur leurs positions res-

pectives. Le c-te Rastopchine qui а ипе famille, qui

craint de passer la mer, n'aime pas l'Angleterre, ой

les 6trangers n'ont pas les agr6ments qu'ils ont autre

part et ой tout est d'une chert6 abominable. Il n'est

donc pas probable que је le revoie jamais, се qui

m'aTige beaucoup. L'autre est Castelcicala, que son

emploi а clou6 Paris; celui-ci, је puis encore esp6-

rer de le revoir si је vis: car si la France est r6vo-

lutionn6e, il sera dans le cas de venir ici, et si elle est

tranquille, је le reverrai, soit avant que. vous quittiez Ра-

ris pour venir ici, soit quand еп quittant l'Angleterre

vous passerez encore раг Paris, car dans l'un ои l'autre

сад је pourrai venir Paris. J'aimerais mieux роит-

tant que се soit que vous avez 6t6 еп Angle-

terre; cela sera plus agrCable, саг је suis persuad6 que

Catinka et son mari viendront avec nous.

Ces deux amis que Dieu nfa donn6s sont bien aussi

les votres, car ils vous sont bien attach6s.

Le c-te Rastopchine п'а 6t6 qu'un mois Londres;

се tems т'а paru сотте ипе semaine: les heures pas-

sent avec lui сотте des minutes. А cette amabilit6,

l'616vation d'dme qui le distingue, cette habilet6

traiter les afaires les plus diTciles, il joint ип excel-

lent сшит, ипе Ате charitable; il est ип ami toute

6preuve. Il т'еп а donn6 des preuves surtout pendant

le rbgne de feu l'empereur, et се n'est que quand il

avait perdu tout son cr6dit et quelque jours avant qu'il

renvoy6 de P6tersbourg que le parti franyais,