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66.
Londres, се 5 X-bre 1805.
M'6tant rendu hier la porte de m-r Pitt, j'ai appris
qu'il d6sirait те voir се matin entre h. et midi.
De је fus аи Bureau et, ayant 6t6 admis chez myl.
Mulgrave, је lui ai donn6 lire les d6p@ches de votre
excellence d'avant-hier, et је l'ai fait surtout attentif
la nouvelle tournure qu'etle а donn6e се qui regar-
de le M6moire.
Се matin j'ai fait la тёте communication m-r Pitt.
Elle а paru le mettre son aise, et il еп а (5te; trbs-
content. Aprbs avoir lu ces pibces, il т'а demand6 si
j'avais le M6moire entre mes mains, et que dans се
cas il те prierait еп son particulier de le lui faire
voir simplement сотте ипе Ейёсе de curiosit6, ајои-
tant qu'en examinant l'6change qu'ils *) offrent оп
pourrait peut-etre еп quelque manibre deviner се qu'il
у aurait leur ofrir еп laissant le Hanovre
ment de cOt6. Је lui ai renvoy6 le Mbmoire сотте
ипе pibce particulibre, et il те le renverra сот-
те tel.
П т'а charg6 de vous pr6senter ses hommages et
de vous informer que depuis qu'il а еи l'honneur de
vous voir, il а еи des nouvelles qui ont fait accro?tre
ses esp6rances de beaucoup: се sont des lettres du
colonel Anstruther, qui marque que depuis son arriv6e
*) РЬчь о Это писано З дня посй
cpazeHia подъ Аустерлицомъ.