— 310 —
d6p6ches myl. Mulgrave par la poste de се soir, de
manibre que votre excellence l'apprendra encore mieux
de cette manibre-lh. Le courrier а quitt6 le chev. Ра-
get le 9.
82.
Londres, се З janvier 1806.
Quelque vraie que soit l'existence de l'armistice, il
те semble qu'il пе faut pas [е regarder encore сотте
ипе calamit6; mais еп tout cas il reste ипе grande
consolation tout Russe, еп considbrant que l'Empe-
reur, aprbs avoir fait toute се qui est possible pour ani-
mer ses voisins, п'а pas еи, еп аисипе manibre, la moin-
dre part cette transaction. et се n'est qu'avec r6-
ридпапсе qu'il а сё(1ё аих efTets de la faiblesse de son
alli6. Elle est incomprbhensible; car, sans rien gagner,
il s'est donn6 lui-m@me le dernier соир! ll parait que
notre Empereur est parti Је joins ici les ех-
traits de deux lettres que j'ai reyues hier de m-r Fors-
тап.
Le c-te Stahremberg m'ayant fait demander се та-
tin si је pouvais le voir, је suis pass6 chez lui, 6tant
assez curieux de savoir, d'ailleurs, се qu'on lui тат-
quait. Il п'а regn du c-te Cobenzl qu'une toute petite
d6pdche et 6crite la hdte, dat6e de Teschen du 7,
ой il lui dit qu'il venait d'apprendre Йи'ип armistice
avait 6t6 sign6; qu'il se r6servait de lui еп par1er plus
аи long par ип autre courrier, qu'en attendant il n'avait
que le tems de l'avertir que c'6tait ипе mesure qui
6tait devenue n6cessaire pour tous les .deux cot6s aprbs
ипе pareille bataille.• Mais се qui те paraft le plus in-