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Londres, се 23 X-bre 1805.

Је пе manquerai pas de r6pondre аи major Pandeli,

qui parait vraiment ип реи inexplicable, et de faire

cet 6gard ип rapport аи prince Adam.

J'ai d6couvert ипе manibre• plus exp6ditive de faire

passer des paquets аи c-te Michel. Le duc d'York еп-

voye ordinairement des paquets lui notre Bureau,

et de оп les expbdie Couxhave6, d'oti il se fait

ensuite ипе exp6dition directe аи quartier-g6n6ral ап-

glais. Quant аих lettres, il est peut-@tre plus s0r de les

faire aller рат la v6ie de m-r Forsmans d'ailleurs le

c-te Michel l'a indiqu6e lui-mame.

Је suis pass6 се matin chez m-r Best, mais sans le

trouver. C'est ип bien digne homme et qui paraft aussi

avoir la confance du roi. Се n'est pr6sent qu'il

est venu de Barnes s'6tablir еп ville, et је пе le n6gli-

gerai pas. M-r Ward т'а dit que le b-n Jacobi lui а par16

d'une lettre qu'il а reyue de sa flle de Berlin, du 10, ой

celle-ci lui parle de la joie qui r6gnait dans toute la

ville sur les succbs qu'avait eus notre Empereur.

Lord Mulgrave а charg6 m-r Ward de vous faire

parvenir, monsieur le comte, d'une manibre particu-

libre, soit рат moi soit pa.r lettre, се qui suit: que dans

le tems que les pr6sens роит le trait6 ont 6t6 envoy6s

d'ici St.-P6tersbourg, le roi avait d6jtY destin6 pour

votre excellence ипе tabatibre avec son portrait, de la

valeur de guin6es; mais que depuis, le gouver-

nement ayant appris que le pr6sent que myl. Ь. Gower

а еи ordre d'ofrir аи prince п'а ри etre accept6, mais

qu'en attendant l-d L. Gower avait reeu ипе tabati&re