tion assez forte de regarder сотте r6els. Је пе d6sire
plus dans та carribre d'autre place que celle que j'ai
оссирбе ici еп dernier lieu. C'est la seule distinction
que j'ambitionne; sije пе puis l'obteiir, rien пе pourra
plus те tenter de rester аи service, сат је пе suis pas
fort роит les chancelleries, et се n'est qu'en Russie et
еп Angleterre que је d6sire passer le tems qu'il те
reste encore vivre. Је vous remercie donc sincbre-
ment, m-r le comte, de се que vous avez 6crit топ
pbre. Је lui rendrai, ainsi qu'& та mbre, bien fdblement
le message dont vous avez bien voulu те charger pour
еих, et quant аи cher comte Michel, croyez que rien
аи monde пе peut те faire plus de plaisir que de vous
parler de lui. Је vous remercie encore particulibrement
de la lettre que vous те recommandez de remettre аи
comte Zawadowsky. Il sera bien consolant роит moi
d'avoir ипе pareille introduction chez ипе personne que
vous honorez et ch6rissez depuis tant d'ann6es.
Une de mes dernibres belles journ6es а 6t6 celle
que j'ai pass6e Camden-place. Је les ai • trouv6s si
bien 6tablis, et се bonheur т'а рати Bi naturel que
lady Pembroke s'est 6cri6e deux dif6rentes reprises:
„mais, топ Dieu, Nicolay, vous n'avez pas du tout
l'air surpris de vous trouver ici avec Que de
momens agr6ables је causerai се bon Michel еп lui
parlant de cet heureux тбпаде! Cette separation а 6t6
encore ипе des plus pbnibles роит moi. Enfn. се que
је vois .de consolant dans се moment, пе consiste que
dans l'avenir dblicieux ой је serai — si Dieu те
permet de vivre—de retrouver dans cet heureux pays
nombre d'amis bienveillants et sincbres.
Је suis arriv6 ici aujourd'hui midi, et le tems
(5tait si favorable que l'on а ри tout de suite embar-