r6vCrend de revenir ici, malgr6 toutes les d6marches

qu'ont faites plusieurs de ses amis роит lui obtenir la

permission de rester.

132.

Monrepos, се 23 septembre (5 octobre) 1808.

Је suis extremement content du voyage que j'ai

fait, tant роит се qui est de l'utilit6 de l'objet que је

devais remplir еп m'instruisant sur les lieux du v6ri-

table 6tat de nos afaires dans се quartier, que pour

la distraction infmiment agr6able que cette course

procur6e. Је suis sar que vous serez content de moi

еп apprenant avec quel abandon j'use des pririli.ges

que m'ont donn6s ces tems heureux que j'ai pass6s

prbs de vous. Сотте mes parens sont ici depuis le

mois de juin et que notre maison еп ville est d6serte,

j'ai pr6f6r6, tant еп allant qu'en revenant, de loger

chez notre bon et cher comte Michel; de тёте Mos-

сои је lui ai demand6 la permission de m'arr@ter dans

votre maison, et l'accueil que ј'у ai 6prouv6 r6ponda.it

bien cet esprit bienfaisant qui le dirigeait loin! А

Moscouj'ai retrouv6 le prince Tcherkassky, avec lequel

j'ai beaucoup соити les 10 jours que ј'у ai pass6s la

seconde fois. П а fait ип tems magnifque pendant tout

топ voyage. Il еп а 6t6 de тёте ici, аи point que

le 6 (18) septembre l'on а din6 chez nous sur la tcr—

rasse, еп plein, air, et qu'encore l'on se pluignait de

voilh ип petit 6chantillon du climat de Fin—

lande. Cette encore notre promenade s'est

faite еп barouche et cheval. Malgr6 l'orage qui gron-

de dans notre voisinage, Ctant hors du grand chemin,