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souvent. Quant й des bals privbs, il s'en donne реи.

Nous avons encore ип petit орбта ой l'on entend quel-

quefois d'assez bonne musique.

149.

Stockholm, се 2 mars 1812 п. 8.

Је comptais vous 6crire рас .m-r Julinatz, qui, arri-

v6 tout dernibrement de P6tersbourg, compte partir

d'ici dans реи de jours Gothenbourg, ой il vient

d'dtre поттб notre consul; mais сотте la personne

(appartenant аи ci-devant magasin de Нау et Belcis

P6tersbourg) laquelle j•ai remis avant-hier ип ра-

quet de gazettes russes роит vous, а remis son d6part

jusqu'aujour&hui, је la charge encore de la pr6sente.

J'ai еџ le bonheur de recevoir successivement vos

lettres jusqu'au 14 f6vrier. Cette dernibre m'est• par-

venue il у а реи de jours avec ипе incluse роит топ

pbre. Моп pauvre pbre т'а bien afflig6 pas ses der-

nibres lettres. Arriv6 P6tersbourg аи commencement

de f6vrier, il а consult6 ип oculiste trbs-habile: m-r

Renieri lui а d6clar6 qu'il se formait ипе cataracte sur

les deux уеих, qui demanderait ипе op6ration. Моп

pbre те l'annonce avec ипе gayet6 qui те fait croire

qu'elle est forc6e, uniquement роит те tranquilliser.

Depuis que nous avons еи la r6ponse de l'Imp6ratrice-

тёте, qui а daign6 0tre la marraine de la petite, elle

а 6t6 baptis6e et а еи les noms de Marie Louise Раи-

line Simplicie — pas тоуеп de lui еп donner moins.

Les deux premiers, endispensables, et quand аих der-

niers, та femme voulait du mien et moi du sien, et