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ses, mais que l'Empereur voulait agir et terminer еп
реи de tems.
Longuinov m'6crit •que le bruit courait P6tersbourg
que lord Pembroke allait nous arriver. Qui пе le sou-
haiterait pas de сеих qui le connaissent? Mais је crains
bien que lui-m@me n'est pas dispos6 se d6placer.
156.
0rebro, се 30 jnin 1812.
Nous attendons d'un jour l'autre la nouvelle
que .les hostilit6s ont соттепсб; mais jusqu'& се то-
ment Топ п'а pas encore par16 d'un seul соир de са-
поп. Nous sommes forts, trbs-forts, et jamais, оп dit,
l'arm6e п'а 6t6 approvisionn6e de tout сотте elle
l'est pr6sent. Рат contre, l'arm6e ennemie„ manque
de vivres, et роит cela l'opinion g6n6rale est qu'il
п'у а point de mal que l'on se regarde еп face реп-
dant quelque tems sans rien faire.
Veuillez, m-r le comte, assurer m-r Pelzer que j'ai
Ct6 enchant6 de pouvoir lui etre bon quelque chose,
et que sa lettre pour Vienne а 6t6 remise exactement
la mission autrichienne dans се pays-ci. J'ai aussi
reg.u le paquet роит le c-te Michel avec les 4 lunettes
d'approche, et је les ai exp6di6es directement Vilna
par ип de nos courriers qui est parti d'ici avant-hier et
qui va de Stockholm, bord de notre corvette la Ро-
топе, droit Riga ои R6val. J'ai recommand6 le
paquet trbs-particulibrement m-r Schou16pov, qui est
la chancellerie du c-te Roumanzov et sur l'exactitude
duquel је puis compter.