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се, car је n'avais pas cru qu'b cet аде l'on pouvait

encore poss6der de ces petites jalousies de m6tier qui

пе sont excusaHes que dans la jeunesse et qui sont

toujours ridicules. Аи reste il п'у а pas еи ип instant,

pas ип cas, dans lesquels l'on ait t6moign6 ici envers

moi moins de confrance qu'h l'ordinaire, се qui те met

тёте de juger d'aprbs des faits et de parler avec

d'autant plus d'assurance.

Је g6mis, m-r le comte, sur le tems qui se perd.

0ette lenteur provient d'un fond de тбйапсе, de soup-

eons qui jusqu'h ип certain moment 6taient naturels,

mais qui depuis quelque tems d6jb sont еп opposition

avec les 6v6nements, et dbs lors пе peuvent plus et.re

expliqu6s que сотте ип efet des machinations de

Bonaparte. Оп l'a attrap6 sur plusieurs faits ой il

avait fait fabriquer des pibces pour 6tablir la тббапсе

entre nous et la Subde, depuis qu'il а remarqu6 l'6troite

union qui s'6tablissait et dont il enrageait. Mais la

grande franchise g'6noncer, s'ouvrir sur tout, а

paralys6 tous ses eforts. А pr6sent qu'il s.'agit de se

lier nussi avec l'Angleterre, Bonaparte • continue le

тете јеи chez vous, et jusqu'& pr6sent il ратай rbus-

sir au-delb de се que j'ai cru moi-mdme. Il пе sait

que trop bien avec quelle avidit6 les bien-pensants sur

le continent s'arrachent les journaux frangais de Lon-

dres, car il п'у а que реи de gens qui peuvent se pro-

curer la gazette anglaise, et, expert сотте il est

faire flbche de tout bois, il dirige l'opinion du conti-

nent, et Ехе le degr6 des sentimens n6gatifs parmi les

membres qui пе sont pas dans le secret des afaires,

par le nonsense qu'il met dans la bouche de сеих des-

quels l'on croit entendre la pure v6rit6. C'est le venin

le plus dangereux qu'il introduit ainsi рат ces диеих