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Birmingham, се 4 X-bre 1816.
Le genre de vie que j'ai тепё pendant les dix jours
que nous avons pass6s Londres а 6t6 cause de се
que је пе vous ai pas plus tOt par16 de notre d6but
еп Angleterre. Је puis vous assurer que vous еп аи-
riez 6t6 content si vons l'aviez vu de prbs vous-meme.
Le hasard а voulu que le gr.-duc d6barque absolument
chez le premier ministre du pays, car le gros tems
nous avait forc6s de jeter l'ancre dans les dunes deva.nt
Walmer-castle, et tout de suite lord Liverpool, qui s'y
trouvait, envoya ип message роит engager le grand-duc
diner et coucher chez lui. S. а. i-le l'accepta et vers
le soir elle avait d6jti si bien mis tout le monde son
aise. que la conversation fut trbs-animbe et qu'il у
eut moins de допе que l'on п'еп voit quelquefois еп
pr6sence des particuliers. Aussi l'hjte et l'h0tesse plurent
beaucoup аи grand. duc, et l'autre jour, еп le retrouvant
Londres, le gr-duc s'attacha beaucoup causer avec
lord Liverpool, que је n'ai jamais vu plus aimable et
plus оссирё de quelqu'un que de notre grand-duc. А
Londres il а plu g6n6ralement рат son afabilitb, рас
ses manibres nobles et naturelles et par ипе candeur
qui а 6t6 remarqu6e рат tout [е monde. Le prince r6-
gent а 6t6 infllliment honn@te envers s. а., qui de son
c0t6 s'est appliqube manifester еп tout le respect qui
lui est (10. Les ministres du pays, ainsi que le corps
diplomatique, sont tous enchant6s de notre prince; vous
auriez еи r6ellement du plaisir le voir ici. Depuis
qu'il а quitt.6 Londres (dimanche pass6, le l-r du mois,
aprbs la messe) il est tout attention се qu'il voit,