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duc fut Salisbury voir la cath6drale, et aprbs le lun—

сћеоп l-d Pembroke le couduisit апх pierres des Drui-

des. Оп parcourut la maison entre ces deux excursions,

et la journ6e пе s'en alla malheureusement que trop

vite. Се matin, tout de suite aprbs le d6jeuner 6t apRs

que le grand-duc eot lui-mdme plant6 ип rhododendron

dans le jardin, nous quittjmes les chers habitants de

Wilton, dont le grand-duc те parla ensuite dans la

calbche pendant quelque tems avec ип ve;ritable соп-

tentement. Је puis vous assurer, monsieur le comte,

qu'il s'est senti dans се cher Wilton aussi bien que

vous auribz ри le d6sirer. L-y Pembroke 6tait entr6e

dans les plus petits d6tails pour connaitre tous ses

et rien n'avait 6t6 n6glig6 seus се rapport. Le

bon Souslov 6tait aussi son poste. Le premier soir.

avant de se coucher, le grand-duc те dit avec

ип air d6 contentement combien il 6tait enchant6 de

s'@tre trouv6 si libre et sans дёпе аи milieu de la so-

ci6t6 de Wilton, et combien il еп savait gr6 аих тай-

tres de la maison. Tous les deux lui ont pla infniment,

et је crois qu'eux vous еп diront autant de lui. Toute

notre suite а 6t6 de la partie. J'ai trouv6 lady Рет-

broke trbs bien роит son 6ta.t, dont vous etes in—

form6, et les enfans merveille, Lisette ayant meilleure

mine que је пе lui ai vu depuis longtems. Nous arri—

vons demain Plymouth; le 6 mars п. s. nous serons

de retour Londres et le 15 nous partons роит Са-

lais; mais le grand-duc s'arrdtera deux jour роит voir

Woolwich et Chatham, се qui fera que nous n'arri—

verons gubres Calais avant le 18, et је pense que

le 21 је pourrai avoir le bonheur de vous embrasser.