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pelle, et c'6tait bien essentiel роит nous. Mille fois

mieux etre oubli6 que arrach6 des siens, сотте

је l'ai 6t6 et lorsque rien аи monde пе peut те d6-

dommager du tems чие j'ai pass6 sans еих.

176.

Londres, се 5 octobre. 1818.

Nous partons d6cid6ment demain, et tout content que

је suis de faire се pas vers та r6union avec та fem-

те et mes enfans, топ coeur п'еп est pas moins

p6niblement оссирб, је vous assure, des distances qui

vont de nouveau m'6loigner de vous et de Fheureux

cercle qui vous entoure. Puisse l'arriv6e du cher comte

Michel avoir lieu et ajouter vosjouissances de l'hy-

ver prochain. Је те r6jouis d'aller l'embrasser encore

МаиЬеиде; mais се n'est que d'Aix-la-Chapelle que

је pourrai vous parler des succbs de notre quartier-

g6n6ral. car је пе pourrai pas у rester роит les voir

de mes уеих, attendu que j'itai attraper la chbre Л]е-

xandrine sur sa marche entre Mons et Libge pendant

les exercices et les op6rations militaires МаиЬеиде.

Ensuite elle continuera sa marche tout doucement et

sagement pendant que је m'arreterai deux ои trois

jours Aix apru l'arriv6e du grand-duc,—et de li је

rejoindrai les miens sur la grande route de Copenha-

дие роит пе plus les quitter.

J'ai fait votre commission auprbs du grand-duc, т-т

le comte,. qui т'а chargd de vous еп remercier et de

sa.luer de sa part tous les habitans de \Vilton, avec

lesquels il s'est trouv6 si bieti que l'on еп parle tr&-

souvent.