sbcution, sans laquelleje n'aurais pas ри voir que топ
bon Maibre, notre nouvel Empereur, ait des bont6s
роит moi.
4.
Londres, le 7 mars п. st. 1797.
Је vois avec plaisir, cher et ancien ami, que vons
consentez се que notre correspondance soit d6bar-
rass6e des formalit6s superflues; mais tout еп у соп-
sentant vous suivez cette formalit6 genante. Је vous
prie donc de пе plus la mettre еп usage et d'6crire сот-
те је vous 6cris celle-ci.
Vous aurez les plantes dont vous m'avez envoy6 le
catalogue par les premiers vaisseaux qui partiront d'ici
et qui arriveront vers le tems de votre retour de
Moscou. J'espe>re que vous те donnerez de vos пои-
velles quand vous serez dans cette ancienne capitale
de notre Empire. C'est la ville ой је suis пё, ainsi que
је suis strictement et le seul de та famille vrai Mos-
cowite. J'attends avec impatience m-r votre fils et
Ivanouchka.
Vous m'avez fait grand plaisir еп m'apprenant que
Sa Majest6 l'Empereur а accord6 ипе pension la
veuve de notre d6funt ami le bon kreideman.
Tout се qui те revient par les lettres que је recois
de топ frbre et par celles que је vois que regoivent
les n6gociants de се pays de leurs correspondants de
P6tersbourg, tous les 6dits et rbglements de notre пои-
veau Souverain пе respirent et пе produisent que le
bonheur et la tranquillit6 de ses heureux sujets. 0rdre,
justice et conservation des propri6t.6s sont les objets
perpe;tuels de son attention. Que Dieu nous conserve
се bon Empereur!