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Francfort, le 7 (18) juillet 1786.
J'aurai8 certainement trbs-bien aceueilli m-r Cuire,
mais је n'6tais pas ici, lorsqu'il у est arriv6, et dbs
que је fus de retour је l'ai envoy6 pri6 de venir diner
chez moi; mais оп т'а fait dire qu'il atait reparti; s'il
revient, vous pouvez btre s0r que је т'еп occuperai.
Dites, је vous prie, m-r Рох qu'il peut m'adresser
tous ses amis, car si је n'ai pas l'honneur de le соп-
naitre personnellement, је sais combien il а rendu dq
t,6moignage d'amiti6 mes frbres lorsqu'ils 6taient
bondres, et moi-m6me ј'еп ai toujours reyus de ses
coosins P6tersbourg. Је comprends parfaitement le
plNsir que vous avez vous retrouver avec notre ami
Rogerson; dites lui mille choses de та part et gron-
dez le bien de n'6tre pas pass6 par Francfort; s'il т'а-
vait аи moins averti de l'endroit de та mission par
ой il а pass6, је serais all6 le voir.
Се que vous те mandez touchant le gouverneur du
neveu de m-r de Zinowiew se fera indubitablement et
si j'6taiB absent, cela se fera 6galement. M-rs Bethmann
m'ont d6jb promis de lui donner sur топ cautionnement
la somme que vous vouliez.
Је suis bien aise que топ frbre vous ait 6crit d'a-
miti6, et је lui еп ai d6jb dit ип mot de.reconnaissance.
Il est eouteau tir6 се qu'il те semble avec le reste
de mes amis hors Zawadowsky. Vous dites fort bien
qu•on пе pent 6tre longtems content de lui, mais qu'il
est impossible de se brouiller tout-bfait: c'est ип coeur
loyal et риг; mais. cause de cela тёте ses focmes