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(puisque Roederer lui-meme est mari6 ипе Francfortoise et
que l'un de ses 0Tcier еп France, ayant quitu
l'armde vit Francfort sans avoir rejoint les princes), j'ai
pens6 et је репве епсотв •que (lbs que les troupes sous les
ordres de m-r de Custine пе trouvaient рад de r68i8tance,
Francfort elles pouvaient etre regues titre d'amiti6, et је
quittai enfn cettB ville le lendemain vers les neuf heut•es du
matin роит prendre la route de Coblence, ой је те trouve
et qui est la route de l'arm6e.
Је restesai ici deux оп trois jours роит pouvoir mander А
v. е. quelle aura 6t6 1'issue de l'exp6dition de Spire et puis
j'irai rejoindre les princes.
d6jA vu l'6lecteur, et се р-се т'а сопбб qu'il craignait
que ces memes -trouppes sous les ordres de m-r de Custine пе
vinssent lui faire ипе visite aussi, parce qu'il у avait dans се
moment Coblence trois millions appartenant аи гоу de
Prusse et qn'il п'а lui personne pour les garder, ni роит
d6fendre sa rbsislence, vu que 'le реи de trouppes qu'il а sont
employ6s Tr@ves й la d6fense de cette ville-frontibre et
la garde des maguins consid6rables qui у ont les
Les Franpais se sont empar6s d'une petite ville qui est lui,
у оп plantb le pr6tendu arbre de la libertd et ont forc6 les
bourgeois danser autour.
М-р de Custine demande аи chapitre de Spire ипе forte
contribution раубе еп 24 heures, аи d6faut de laquelle il
тепасе de r6duire la cath6drale et. la maison des chanoines
еп cendre.
Les troupes autrichiennes et mayenpoises se sont d6fendus,
dit-on, Spire avec ипе grande bravoure, aussi il еп est реи
rest6. Оп а voulu que les bless6s trouvassent ип asile Мап-
heim. ll leur а 6t6 refus6 sous pr6texte de neutralitb. M-r de