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Се que је dois, c'est de m'occuper des papiers de la mis-

sion qui m'est сопб4е: јв viens de - les remettre т-т de

Woukassowitsch. Је lui ai ai pr6scrit de se rendre, dbs qu'il le

jugerait convenable, Напаи qui est fortif6. Quant moi

j'ignore quel -parti les circonstances ult6rieures те forceront

prendre; mais је regrette de voir prendre d6jA celui de la

prudence la plus consomm6e tant de personnes que је res-

pecte ои considbre.

L'on пе parvient рад avoir des nouve!les bien sares•,

quelques voyageurs viennent de dire que les ennemis mar-

chaient sur Мауепсе et occupaient d$ les environs de Darm-

stadt aussi. Се n'est pas аи milieu de la craintB que l'on

voit juste et que l'on apprend la v6rit6; peut-@tre demain

rougira-t-on de cettB terreur. Quelque soit le cas, је п'аи-

rai reprocher que d'ayoir voulu rester tranquille аи mi-

lieu d'une grande agitation, et votre excellence те le pardon-

nera facilement.

La femme du mini8tre de l'empereur Мауепсе, т-те la

c-tesse de Schlick, dbs hier аи soir а command6 чие des

chevaux de poste fussent prets pour elle pour s'en aller

Prague.

Quelqu'un а dit avoir vu les Franpais marcher sur Мауепсе

et Francfort pourvuS de tout; il avait vu les bombes.

Il те

semble qu'un passant peut voir des breloques, mais des bom-

bes, e'est autre chose!