r6solution de pousser plus loin, је croirai• que vous

еп avez de bonnes raisons et qu'aucune de celles qui

se pr6sentent роит vous еп dissuader пе vous aura

&chapp6e. J'apprends qu'on vous envoye ип chirurgien;

c'est ипе sage pr6caution contre la maladie, mais son-

gez que d6sormais се n'est pas le seul mal que vous

ayez craindre. Ne fous endormez pas, пе vous flattez

pas, et avant que de vous embarquer, regardez у plus

d'une fois.

Quelle vilaine chose que d'6crire! J'ai ипе envie

d6mesur6e de causer avec vous: il у а mille choses

dont је pourrais vous parler et је пе sai.s que vous

dire! J'ai beaucoup, Ьеаисоир caus6 avec m-r de Schou-

wa.low, ои plut0t c'est lui qui а beaucoup caus6 avec

moi tous ces jours-ci; il т'а еп v6rit6 par16 de fa€on

те faire croire qu'il а quelque сопНапсе еп moi.

а souvent 6t6 question de vous dans ses excursions•

droite et gauche. Се sont des id6es que је пе

suis pas toujours еп 6tat d'appr6cier; је sens bien

qu'il а sa lunette, qui difbre assez de la y0tre: vous

comptez tous les deux d'aprbs des donnn6es difbren-

tes; il est tout naturel que vos r6sultats пе soient pas

les m6mes.

Је suis toujours sans nouvelles de m-r votre frbre

et j'attends avec bien de l'impatience la lettre que m-r

Bacounine т'а promis de sa part. Је те suis acquitt6

de votre commission роит т-те Ziaowiew; т-те de

Schouwalow, qui la voit souvent, s'est charg6e de lui

dire се que vous souhaitez- qu'elle sache. J'ai vu сев

jours-ci т-те votre soeur Palianski; elle т'а promis

de m'envoyer ипе lettre роит VQUS, Elle se porte trbs-

bien, ainsi que т-те de Boutourline. Је n'ai point

enyore vu т-те la chancelibre depuis qu'elle ept Де