— 191 • —
Monseigneur c,Q.ntinue toujours se porter de mieux
еп. mieux. M-r de Panine hier dwns
chambre votre lettre; il т'а demand6 се que
је iisai8i је le lui ai dit; cela luiI donn6 lieu de pa.V+
ler de votre 6criture et de те demander ой vous etiez
et ,comment vous vous • est fori tpan-
quilE •id, оп• пе parle presque plus de •Moscoa: оп
dit .que le nombre des morts у diminue. • Le pa;uvre
archev6que est non-seulement mort, il esb 0Bbli6; аи
reste, cela est dans l'ordre. J'ai beauooup de
еп celui que j'espbre que le comte vu 6tablir Moscou.
La ma.ison de Mertens est tonjours pill6e; mais j.'espbre
du moiB8 qn'il est vrai. сотте оп l'a toujours dit.
qu'il пе lui est pas arriv6 de та] lui ni й sa femme.
Оп т'а fait trembler aujourd'hui еп те demandant,
s'il 6tait vrai que m-r [е docteur ]Iertens avait 6t6
assomm6? Cela est afreux entendre; que serait-ce,
si cela 6tait vrai?
Оп dit que notre pauvre m-r Sabakine est bien та);
ma.is, depuis le tems que је п'еп entends plus parler,
il est peut-6tre mort; аи reste, се n'est pas de la peste.
Mais pourvu qu'on meurt, cela revient assez аи тёте.
Le pauvre he!man est encore assez loin d'@tre диб-
ri de son oeil; il а 6t6 0blig6 d'y subir ипе seconde
op6ration. Оп а beaucoup cyi6 ici contre Sancbez, qui
d6conseillait l'op6ration; j'ai bien peur qu'il n'ait еи
raison.
Vous те parlez d'Aufrbne сотте s'il devait encore
venir ici. Soyez sans inqui6tude sur le d6fit que son
magnifque traitement aurait ри causer m.lle Martin.
Aufrbne а d6couvert que les roubles пе valaient plus
s. de France, et il 6crit m-r Yblaguine qu'b moins
de lui bonifier cette perte r&elle qu'il ferait sur chaque