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5.
Кь нему же.
($-t 6 oclnbre. 177 И
Де suis «te, • уотв: sav0iI' tnuni d'tili chiAii•L
gieh et d•'une •apot,hicairecie• •aibulante;• mais ёе•• (Bti
tnett,ra le c.ombld тш joie, се sera de vous• •v0iF de
retour, Selon le calcu'k de та pru)ence moi',• ••il т'е
semble qu'aprbs avoir fait пп tOur vos tnines.:il' ii'*
aurait Tien de mieux faire que de vous еп retehir
tout uniment ici et de profter роит cela du dernier
trafnage. Il п'у • а pas de eonsid6rations [Secondairds
qui puissent• tenir• contre l'importance de eelles que је
pourrais vous all6guer, mais cela бе ferait •qje tenir
inutilement de la place ici; et је sais tfop, malgr6 tont
се que l'on pent vous dire, que vous пе •faites роип•-
tant .jamais que. се qne vous voulez. Le реи, que vous
те dites de votre belle conduite, те donne ппе haute
id6e de votre prudence. Је пе dis pas : qu'il faiHe
avoir реит., Dien пе plaise, mais је pense ' qtre -tout
le courage •du monde пе sert de rien роит •se garan-
d'un mal сотте celui-lh; et чие s'i1 vous еп dtait
m6savenu, се n'eut pas seulement 6t6• ип malheur,
mais ипе honte. Que voulez-vous donc faire се prin-
tems dans tous ces pays infect6s? Voulez-vous atten-
dre пе plus savoir ой donner de •la tete? ()utre cela,
оћ dit que vos afaires n'ont pas mal 'besoin de votre
pr6sence ioi. Је пе sais rien de bien positif cet 6gard;
mais si eela est, j'espbre du moins qu'on пе manquert
pas de vous le dire, et que vous у penserez.
Vous voyez que је m'acquitte bien de vos commis-
sions, сат yoici ипе lettre de m-r de Schouwalow et