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Кь неиу же.
се 27 octobro (1771).
Haliday est parti lundi sans prendre сопдё de moi
ni de personne. Devinez pour ой? Ni plus ni moins
que роит Moscou. Le comte 0rlow demande des рои-
dres de s6a6s et ип m6decin. L'!mp6ratrice consulte
m-r Rogerson, celui-ci lui потте Haliday, et le voilh
parti. Il est аи service par oukase pass6 поп аи Col-
lbge de M6decine; mais аи S6nat; оп lui donne
roubles par ап, се qMi те paraft bien реи pour ипе
telle corv6e, point de logement, enfm СТ roubles.
Voyez ип реи si vous пе pourriez pas le recomman-
der аи comte; quand cela n'ambliorerait pas son sort,
се qui, се qui те semble, doit pourtant assez d6-
pendre de lui. Се sera toujours ипе grande avance аи
pauvre Haliday роит acqu6rir l'honneur des bonnes
graces du comte que de paraftre jouir des v0tres. Sa
femme т'а dit que l'Imp6ratrice avait daign6e s'infor-
mer de sa fortune dont Rogerson lui avait fait le
rapport, et qu'elle avait sourit l'article des trois еп-
fans dont elle 6tait accouch6e la fois, disant que si
elle avait besoin de secours, il falIait qu'elle s'adressat
elle. Моп Dieu, que је voudrais bien que tout cela
f0t ип commencement de fortune• роит cet honn@te
homme! Mais il а tant de guignon que је meurs de
peur que cela пе lui proflte pas. Је suis bien sar, m-r
le comte, que de votre c0t6 vous pousserez la roue
tant que vous pourrez.—M-me la marbchal Apraxine est
mourante d'une goutte remont6e, voilh deux ои trois
Архивъ Князя Воронцова XXIX.
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