des livres: 1) „Histoire du rbgne de l'empereur Charles

le traducteur est m-r Stuart que Robertson а choisi

lui-m6me; 2) „Histoire de la rivalit6 de la France et de

l'Angleterre“. Ј'еп ai lu• le premier volume et ипе par-

tie du second; il те semble que l'auteur s'y tue

courir aprbs l'esprit: il а proft6 visiblement du travail

do m-r Robertson et Ните, mais qu'il est loin de leur

manibre. З) „Journa1 Де la cour de Louis XlY“: c'est

trbs-peu de choses, et l'6diteur pouvait у 6pargner ses

notes; cependa.nt оп trouv.e par-ci ра• des choses

qui font plaisir, du moins moi, qui m'int6resse сед

tergs-lh, peut-6tre, ип реи plus que de raison. П n'est

pas question de trouver ici l'„Eloge de F6n6lon“, vous

le verrez рат le catalogue que је yous_ai envoy6: il

faudra que cela ait vieilli avant que cela поив par-

yienne. J'ai repris aussi mes lectures depuis que le

rnauvais tems а mis fn mes promenades,

J'ai fait lire m-r de Schouwalow „les M6moices de

Retz“ qu'il пе connaissait рад, et madame •les „Lettres

de S6vign6“: ils sont dignes tous les deux de connaitre

сев децэЛ, еф је m'attendais bien аи plaisir que cetie

lecture leur, а donu6. М-те de Schouwalow surtout пе

pouyait manquer de se prendre de belle passion pour

m-de, de S6vign6, et је suis tout-Hait content, de l'a-

rniti6 que је lui yois роит elle. Је vous suis bien оь

lige aussi, m-r le comte, de се que vous те dites que

vous lui ayez fait l'honneur de la relire: e'est m'obli-

дет ptrsonnellemant que d'aimer m•de de S6vign6. Је

sui$ aussi fort content du mot que vous те dites de

F4n610n: son amour divin et sa т-е de Gu.yon sont

sans doute des so!tises, mais il п'у avait qu'un hom-

те iafniment sensible, aimable et honnete . qui f0t са-

pable de сев sottises-lh, D'ailleurs, son amour divin