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Еп v6rit6, vous 6tes cha.rmant, топ cher comte: vous

те dites de vous 6crire des longues lettres, bmoi qui

пе sait rien, pas тёте les comm6rages de la ville. Ci-

devant, quand j'6tais presque le seul ici, је vous ai

6crit assez hardiement toutes mes pens6es et tout се

que је croyais qu'il vous int6ressait savoir; pr6sent

qu'il у а (grace Dieu) реи de 6vbnements et que

vous avez tant de personnes de marque, toutes atta-

ch6es vous et vingt fois mieux instruites et plus Ес-

lair6es que moi, tout се que је реих faire de mieux

pour votre service est d'instruire vos amis, quand .је

sais qu'il у а ипе bonne occasion vous 6crire, et

тёте pr6sent que m-r К—у est еп place, се devoir

est devenu presque nul.

Је vous ai 6crit quelques mots ces jours-ci par le

р-се Bariatinsky qui vient Londres dans la vue de

de se pr6parer pour la carribre politique. Vous savez

que son beau-frbre c-te Tolstoi est trbs-bien avec le

Maftre et l'Imp6ratrice. Il а 6t6 son sort de rendre

des services l'un et l'autre, et avec cela il пе quit-

te jamais leurs personnes, еп sorte qu'il est trbs-im-

portant dans l'appartement. Le јеипе prince, par cette

connexion et par sa soeur, qui est trbs-habitu6e auprbs

de l'Imp6ratrice, doit 6tre trbs аих faits de plusieures

circonstances qui ponrraient vous amuser. Certaine li-

aison qu'avait се јеипе homme avec ипе dame, qui

vous est соппие, s'est fnie il у а plus que deux ans.

Vous aurez entendu de tous c0t6s de la chute de

prince Gagarine. Оп s'est 6tonn6 seulement qu'il s'est

conserv6 si longtems. Је crois qu'on conservera la place

vacante l'arriv6e de votre frbre, роит 6tre

да disposition сотте de raison, pour la r6gir avec ои