188 —
39.
Је пе реих pas, топ trbs-cher comte, laisser рат-
tir le courrier sans vous dire deux mots, quoique је
n'ai rien d'int6ressant vous communiquer, аисип
nement de marque n'6tant arriv6 depuis та dernibre
lettre. J'ai pass6 deux heures hier аи soir еп t6te-b
tate avec m-r votre frbre, imm6diatement aprbs qu'il
avait exp6di6 son paquet mylord S-t Helens. Nous
avons beaucoup caus6 de vous et de vos charmants
enfants; c'est l'int6r6t qui parait tenir le plus forte-
ment son coeur. Sur d'autres choses је n'ai rien
ajouter се que је sais qu'il vous а 6crit,. J'ai seu-
lement vous prier d'6tre extr6mement r6serv6 et
circonspect dans vos lettres publiques, car nous avons
beaucoup des id6es j,ottantes nouvelles, qui, је те per-
suade, n'auront аисипе suite, mais sur lesquelles pour-
tant quelque opinion trop fortement prononc6e par ип
homme сотте vous ponrrait. op6rer ипе sensation
d6sagr6able. Је dis cela par pure pr6caution, sans аи-
сипе r6trospection. Venez, venez nous voir, саг еп
v6rit6 vous пе nous connaissez que la moiti6.
Vous savez, j'espbre, топ cher ami, tout топ 6tat
et tout се qui fut топ plan pour le реи de carribre
qui peut те rester. Si Paul avait v6cu, j'aurais assur6-
ment r6ussi (les fers 6taient dans le feu) pour faire
та retraite l'6t6 pass6. L'6vbnement qui est survenu
п'а pas que роит ип moment bbran16 се projet, quoi-
que j'ai 6t6 0blig6 de le dif6rer. Mais топ d6sir et
bosoin de retraito augmentent de 'jour еп јоит. Је vais