Изъ Д. В. Арсеньева кь князю М. С. Воронцову.

1.

Получ. 20 Овтабра 1803.

De St.-P6tersbourg, le 17 de septembre.

...Је пе те croyais jamais capable d'un attachement

que vous m'avez fait avoir роит vous, et j'6tais bien

loin de songer la peine que j'ai еие de vous voir

partir. П m'est arriv6 plns d'une .fois de те s6parer

des gens qui пе m'6taient рад indif6rents, mais је

vous avoue que jamais de quitter ип homme de votre

espbce, ип homme qui soit aussi capable de faire ипе

impression inefaeable.

Pour tant, de peur de vous faire r6citer:

ДостоВной похвалы невћжда не умалить;

А то не похвала, когда невТжда хвалить,

је veux bien vous parler des manoeuvres. L'Empereur

еп fnt enchant6, et tous les spectateurs disent qu'elles

пе pourraient раз etre mieux ex6cut6es; оп trouve роит-

tant critiquer la disposition. Aussi la r6compense

fut g6n6reuse. Il faut que vous sachiez qu'il у avait

des cordons de donn6s, dont l'un fut destin6 аи comte

Tolstoy, qui l'a refus6 le trouvant trop au-dessus du

service qu'il а ри rendre аих manoeuvres, et п'а ас-

cept6 qn'une boite avec le chifce. Tout le monde trouve

cette conduite admirable, et је crois que cela m6rite