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Кб нежу м.
Tiflis,
novembre 1803.
C'est ипе grande f6licit6 роит moi de recevoir les
assurances de votre amiti6; је п' ai рп la m6riter qne
par l'attachement sans bornes que је vous ai vou6 pour
la vie. L'habitude de passer та vie avec vous est de-
venue ипе n6cessit6 fond6e sur l'amiti6 et l'estime que
vous 6tes si capable d'inspirer, et је те ressens tous
les jours de la peine de т' 6tre s6par6 de vous.
J'ai reyu ип petit billet de notre cher Черкаской,
et је lui 6cris еп r6ponse Londres. J'espbre qu'il а
еи ип bon voyage et qu'il se trouve bien li; се dont
је suis c'est qu'il trouvera des gens pr@ts lui
rendre le s6jour aussi agr6able que possible.
Је suis enchant6 de се que notre digne chef а re-
fus6 le cordon qu'on voulait lui donner. Il а еи par-
faitement raison. Il у а des gens qui пе peuvent rece-
voir des cordons que pour des manoeuvres; mais il n'est
pas de се nombre, et il sert son pays plus utilement.
Је vous suis bien reconnaissant, топ cher ami,
pour la сопйапсе que vous те t6moignez еп те de-
mandant conseil sur votre voyage еп Italie. Certaine-
ment је пе те ctois nullement еп 6tat de juger d'une